J’écris / Je crie
Vienne la nuit, sonne l’heure
Horloge parlante errante
En passant une série de slogans de mai 68 à la moulinette d’un procédé oulipien, Jean-François Guillon remonte à la source du spontanéisme mural de la parenthèse enchantée pour Une nuit de la philosophie aux Beaux-Arts de Paris. Chaque heure, un slogan est énoncé, déconstruit, puis reconstruit, et cède la place à une anecdote fictionnelle.
Site de l’artiste : www.jeanfrancoisguillon.fr